Dans l'eau des fontaines




Commentaires

  1. Une fois encore, Delphine alias Ivaule, nous enchante tant le cadre choisi fait la part belle à la lumière et aux couleurs.
    L'objet, trivial au premier abord, quoi de plus banal en effet qu'une pierre moussue dans une fontaine, est le prétexte à la découverte.
    Il est pour l’œil le point de départ d'un voyage à travers les reliefs de l'image.
    Par essence, une fontaine n'est pas profonde. Pour autant, on plonge au cœur d'un pays de cocagne à la richesse picturale qui convoque la paix des bords de la Loue, à Ornans, du comtois Courbet, ou la tendresse des nénuphars de Monet.
    Dans l'eau des fontaines, grâce à Delphine, on trouve le monde tout autant que son reflet.
    L'eau des fontaines abreuve son talent à saisir la beauté d'un instant, à magnifier la magie des couleurs, à nous inviter au voyage des sens.
    La douceur de l'eau, l'odeur boisée de la mousse, la musique des gouttes, voilà tout ce que Delphine, par son œil un peu peintre, un peu poète, fait passer à travers notre regard.
    En toute objectivité,
    Sam

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    Réponses
    1. 😀 un critique de Télérama est venu sur mon blog ?
      Il a été très gentil avec moi en tout cas ! Merci ! 😆

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