Changement de lieu, nous voilà arrivés à Colmar !
Nous entrons dans la troisième dimension, puisque cette fois, c'est dans le passage souterrain que je suis allée photographier.
Attirée par les lignes des mains-courantes des escaliers (qui débordent bien de la longueur d'un giron, et qui, en plus, indiquent en braille vers quels quais elles dirigent les voyageurs, merci l'accessibilité pour tous ! ;-) ), je me suis positionnée au ras du débord de la main-courante en direction du tunnel. J'ai attendu que des passants s'approchent pour déclencher.
La profondeur, évidemment, est suggérée par les lignes de fuite et la perspective du tunnel, mais aussi par l'opposition de l’escalier net au premier plan et des personnages flous en arrière plan, leur donnant d'ailleurs un côté mystérieux.
Nous entrons dans la troisième dimension, puisque cette fois, c'est dans le passage souterrain que je suis allée photographier.
Attirée par les lignes des mains-courantes des escaliers (qui débordent bien de la longueur d'un giron, et qui, en plus, indiquent en braille vers quels quais elles dirigent les voyageurs, merci l'accessibilité pour tous ! ;-) ), je me suis positionnée au ras du débord de la main-courante en direction du tunnel. J'ai attendu que des passants s'approchent pour déclencher.
La profondeur, évidemment, est suggérée par les lignes de fuite et la perspective du tunnel, mais aussi par l'opposition de l’escalier net au premier plan et des personnages flous en arrière plan, leur donnant d'ailleurs un côté mystérieux.
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