Avec cette image, Ivaule, alias Delphine, éloigne merveilleusement l'horizon de nos flâneries d'automne. Le Rhin n'est pas bien loin, son or pourrait s'être égaré au pied du château d'où cette photographie a pris naissance. L'ouverture (instrumentale) de l'Opéra éponyme devient l'accompagnement parfait pour le périple de notre regard dans les paysages de ce tableau. L'envol depuis les ors et les fauves de la vallée est celui de l'aile qui rendit possible le rêve d'Icare. La courbe des verts est le souffle qui nous porte et nous pousse à franchir les vallées, dévalant le dégradé de bleus. L’œil, déjà ébloui par le rayon de soleil au dessus du premier plan, est irrémédiablement attiré par la lumière éclatante d'un ciel immaculé. Mais pas de perdition, car l'artiste nous rappelle au bercail, pour un nouvel envol ou, plus sûrement, pour découvrir un nouveau miracle de beauté, capturé par sa sensibilité experte. J'ai hâte de découvrir sa prochaine symphonie. En toute objectivité, Sam
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RépondreSupprimerAvec cette image, Ivaule, alias Delphine, éloigne merveilleusement l'horizon de nos flâneries d'automne. Le Rhin n'est pas bien loin, son or pourrait s'être égaré au pied du château d'où cette photographie a pris naissance. L'ouverture (instrumentale) de l'Opéra éponyme devient l'accompagnement parfait pour le périple de notre regard dans les paysages de ce tableau. L'envol depuis les ors et les fauves de la vallée est celui de l'aile qui rendit possible le rêve d'Icare. La courbe des verts est le souffle qui nous porte et nous pousse à franchir les vallées, dévalant le dégradé de bleus. L’œil, déjà ébloui par le rayon de soleil au dessus du premier plan, est irrémédiablement attiré par la lumière éclatante d'un ciel immaculé. Mais pas de perdition, car l'artiste nous rappelle au bercail, pour un nouvel envol ou, plus sûrement, pour découvrir un nouveau miracle de beauté, capturé par sa sensibilité experte. J'ai hâte de découvrir sa prochaine symphonie.
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Sam