Son double




Commentaires

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

    RépondreSupprimer
  2. Ivaule, alias Delphine, ouvre un nouveau portail, majestueux, vers la féerie que son regard décèle dans la nature.
    Ce nouveau mystère est une énigme périlleuse qu'elle propose à notre œil intérieur.
    Le reflet, central, cristallise la magie de l'image (comment ne pas être ensorcelé par le talent de Delphine?), attire notre regard et attise notre convoitise.
    Pour autant, les ors et les verts des bordures n'ont rien d'un prétexte.
    L'alternance des couleurs, du réel au reflet, est une frontière tout autant qu'un guide.
    On y voit les marches du royaume du dessus et les haies qui bordent la route des mondes de l'ailleurs.
    L'Arbre devient alors la récompense d'un périple intérieur, l’appât d'un dévoreur d'âme tapi dans les ombres ou la clé d'un pouvoir sur le temps, donnant à chaque instant de présent, valeur d'éternité.
    Si on décidait d'y plonger, qu'y trouverait-on ?
    Son autre soi, porteur de nos espoirs ou son double maléfique ?
    Un piège illusoire pour le cœur ou bien son âme sœur ?
    Pour ma part, je plongerai encore et encore car je n'y trouve qu'enchantement.
    En d'autres termes, "mets ta ceinture Alice, et bon voyage au pays des merveilles".
    En toute objectivité (même si j'écris un soir de pleine lune...)
    Sam

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire