Un mercredi de juillet, j'ai eu l'immense chance de visiter l'usine sidérurgique de Völklingen.
Pourquoi immense ? Parce que le site l'est, littéralement. 6 hectares, plus de 7km de déambulation possible, dans cette usine désaffectée, classée au patrimoine mondial culturel de l'Unesco.
C'est un site que l'on peut visiter pour l'urbex bien sûr, mais aussi pour ses expositions culturelles qui y sont organisées tout au long de l'année.
L'art est d'ailleurs omniprésent sur le site, il s'est glissé un peu partout, au milieu des tuyaux, des machines, de la ferraille et de la rouille.
On a passé 6 heures dans ce lieu fascinant.
Cette usine fondée en 1873 a fonctionné jusqu'en 1986, date de sa fermeture. Et bien qu'elle ne soit plus en activité, on devine aisément les conditions de travail infernales que les ouvriers devaient subir chaque jour.
Cette usine est un véritable monstre : fait de métal et de rouille, on pourrait facilement le prendre pour une structure sans vie. C'est sans compter sur les cheminées des hauts-fourneaux qui apparaissent comme de gigantesques serres, en autant de formes organiques dont je vous laisse la liberté d'interprétation.
La nature y reprend ses droits, le parti a été pris de laisser toute une zone de l'usine en l'état. Cet endroit s'appelle le paradis. Et c'est assez poétique, car le choix a été fait de laisser la nature revenir dans l'endroit où les conditions de travail étaient les plus difficiles. Et ça marche. Une véritable biodiversité s'y est développée, et de l'enfer, cet endroit glisse doucement vers le paradis.
Voilà, je crois que c'est le premier article où je bavarde autant. Il y aurait encore à dire, mais c'est un blog photo ici, alors place aux images ! J'espère vous avoir mis en appétit !
La série sur Völklinger Hütte sera longue, j'y ai fait près de 350 clichés ! Bien sûr, vous n'aurez pas droit à tout, mais ce sera tout de même ma plus longue série. J'y ai déjà dégagé des thèmes, mais je ne sais pas encore si je vais les suivre ou passer de l'un à l'autre. L'avenir nous le dira !
En attendant, voici une mise en bouche avec quelques photos du site dans son ensemble.
Pourquoi immense ? Parce que le site l'est, littéralement. 6 hectares, plus de 7km de déambulation possible, dans cette usine désaffectée, classée au patrimoine mondial culturel de l'Unesco.
C'est un site que l'on peut visiter pour l'urbex bien sûr, mais aussi pour ses expositions culturelles qui y sont organisées tout au long de l'année.
L'art est d'ailleurs omniprésent sur le site, il s'est glissé un peu partout, au milieu des tuyaux, des machines, de la ferraille et de la rouille.
On a passé 6 heures dans ce lieu fascinant.
Cette usine fondée en 1873 a fonctionné jusqu'en 1986, date de sa fermeture. Et bien qu'elle ne soit plus en activité, on devine aisément les conditions de travail infernales que les ouvriers devaient subir chaque jour.
Cette usine est un véritable monstre : fait de métal et de rouille, on pourrait facilement le prendre pour une structure sans vie. C'est sans compter sur les cheminées des hauts-fourneaux qui apparaissent comme de gigantesques serres, en autant de formes organiques dont je vous laisse la liberté d'interprétation.
La nature y reprend ses droits, le parti a été pris de laisser toute une zone de l'usine en l'état. Cet endroit s'appelle le paradis. Et c'est assez poétique, car le choix a été fait de laisser la nature revenir dans l'endroit où les conditions de travail étaient les plus difficiles. Et ça marche. Une véritable biodiversité s'y est développée, et de l'enfer, cet endroit glisse doucement vers le paradis.
Voilà, je crois que c'est le premier article où je bavarde autant. Il y aurait encore à dire, mais c'est un blog photo ici, alors place aux images ! J'espère vous avoir mis en appétit !
La série sur Völklinger Hütte sera longue, j'y ai fait près de 350 clichés ! Bien sûr, vous n'aurez pas droit à tout, mais ce sera tout de même ma plus longue série. J'y ai déjà dégagé des thèmes, mais je ne sais pas encore si je vais les suivre ou passer de l'un à l'autre. L'avenir nous le dira !
En attendant, voici une mise en bouche avec quelques photos du site dans son ensemble.
La nature grignote doucement ce qu' on lui a volé d'espace et de ressources. Hâte de voir la suite...
RépondreSupprimerLa nature grignote là où l'homme la laisse grignoter...
SupprimerElle est pugnace. Des arbustes poussent sur les structures elles mêmes!
SupprimerOui tu as raison.
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