Voici une oeuvre que tous les sélestadiens connaissent, et je suis passée devant un nombre incalculable de fois, me disant à chaque fois qu'il faudrait quand même que je me décide un jour à la photographier. Composée de plus de 300 plaques de rue, il m'a semblé évident de mettre en avant celle que je vous propose.... une plaque intitulée l'heure bleue, prise en photo à l'heure bleue !
Je ne pouvais pas publier ici une photo de cette oeuvre sans me livrer à une petite recherche, que je partage ici :
Point de rencontre : le rêve, 1993 , Sarkis
Cette œuvre se développe sur le mur d’enceinte des anciens remparts, en bordure de l’Ill. Elle est à la fois une invitation à la promenade et un appel à la rêverie.
Les plaques de rue portent des bribes de textes, des extraits de poèmes, quelques mots propres à déclencher le rêve. Elles évoquent l’art, le voyage, l’amour, la nature telle une sorte de patrimoine culturel partagé et invitent à laisser vagabonder son imaginaire.
Les 310 plaques émaillées correspondent au nombre de rues existant à Sélestat en 1993, plus quelques unes restées vierges symbolisant l’extension future de la ville.
Le site choisi par l’artiste, bordé d’une promenade surélevée, se situe dans la zone sud de la ville. Il est délimité d’un côté par un rempart des anciennes fortifications de la ville et de l’autre par un bras de la rivière Ill sur 80 mètres de longueur environ.
L’artiste cherchait le lieu de la ville où les amoureux ont l’habitude de se rencontrer, un lieu où l’on s’envoie des messages. Ainsi métamorphosé par la présence des mots et des ailes, ce lieu cesse d'être un quai banal pour devenir le quai du rêve.
Je ne pouvais pas publier ici une photo de cette oeuvre sans me livrer à une petite recherche, que je partage ici :
Point de rencontre : le rêve, 1993 , Sarkis
Cette œuvre se développe sur le mur d’enceinte des anciens remparts, en bordure de l’Ill. Elle est à la fois une invitation à la promenade et un appel à la rêverie.
Les plaques de rue portent des bribes de textes, des extraits de poèmes, quelques mots propres à déclencher le rêve. Elles évoquent l’art, le voyage, l’amour, la nature telle une sorte de patrimoine culturel partagé et invitent à laisser vagabonder son imaginaire.
Les 310 plaques émaillées correspondent au nombre de rues existant à Sélestat en 1993, plus quelques unes restées vierges symbolisant l’extension future de la ville.
Le site choisi par l’artiste, bordé d’une promenade surélevée, se situe dans la zone sud de la ville. Il est délimité d’un côté par un rempart des anciennes fortifications de la ville et de l’autre par un bras de la rivière Ill sur 80 mètres de longueur environ.
L’artiste cherchait le lieu de la ville où les amoureux ont l’habitude de se rencontrer, un lieu où l’on s’envoie des messages. Ainsi métamorphosé par la présence des mots et des ailes, ce lieu cesse d'être un quai banal pour devenir le quai du rêve.
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